Histoire
Hello, I miss you quite terribly. sms
Je me nomme Otis Burgess. J'ai 35 ans. Je suis blond aux yeux bleus. Je suis né à Londres, banlieue adorée par les étrangers, détestée par ses propres habitants. J'ai grandi dans un orphelinat et n'ai jamais été récupéré par aucune famille. Un air louche qu'ils disaient que j'avais pour ne jamais vouloir de moi. Lorsque je suis sorti, j'ai reçu une lettre le jour de ma majorité avec une petite clef à l'intérieur de l'enveloppe; une clef qui m'est bien trop chère pour que je la perde. Dans un coffre d'une banque se trouve toute la fortune que mes parents biologiques m'avaient laissé avant qu'ils ne décèdent, me donnant ainsi tous les papiers nécessaires au sujet de ma personne. Je me suis servi de cet argent pour faire le tour du monde, m'enrichissant de chaque culture qui fait de moi ma plus grande fierté. Mon dernier arrêt est Skëlton.
Je me nomme Otis Burgess. J'ai 35 ans. Je suis brun aux yeux bleus. Je suis né à Edingburg, capitale des Highlanders, honorée de tous. J'ai grandi dans un cottage jusqu'à ma majorité, aimé et adoré de mes parents qui savaient bien comment me chérir. Mon père était musicien et m'a enseigné ses connaissances. Ma mère était droguée et préférait noyer son chagrin dans l'alcool pour ne pas avoir su quitter cet homme qui la rendait malheureuse. J'ai poursuis des études de musique, devenant par la suite professeur de solfège mais j'ai été muté dans un autre établissement pour des soucis comportementaux qu'ils me disaient les autres. J'ai été vite remplacé par quelqu'un d'autre, quelqu'un de plus compétent apparemment, du moins professionnellement parlant. J'ai décidé de prendre mon envol, ayant marre de migrer à chaque installation fraîchement terminée. Mon dernier arrêt est Skëlton.
Je me nomme Otis Burgess. J'ai 35 ans. Je suis frisé aux yeux bleus. Je suis né à Plymouth, réputée par son phare que je connais comme ma poche. J'ai grandi dans ce dernier avec le frère de mon père, après que ce dernier soit mort d'un cancer. Ma mère a préféré me laisser partir avec lui, ne voulant me prendre en charge. Un enfant c'est bien trop de responsabilités pour une seule et même personne. Mon oncle m'a appris tout ce qu'il y avait à savoir sur l'océan et ses secrets. Le jour de mes 16 ans, il m'a offert un voilier à mon nom et c'est par un défi idiot que j'ai accepté de l'accompagner pour une traversée de l'Atlantique. On y a séjourné quelques années, faisant commerce de poissons sur les marchés de la première ville d'Amérique du Nord où nous sommes tombés. Nous avons repris la mer et la mer a pris mon oncle. Pleurer ne le ramènerait pas. J'ai juste continué ma route. Mon dernier arrêt est Skëlton.