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Connor M. MacWhite
Anonymous
Invité
Invité



Ven 10 Mai - 18:38
Connor M. MacWhite
crédit : Kélalin
Nom : MacWhite
Prénom : Connor, Malcolm
Âge : 49 ans
Groupe : Hilmar
Nationalité : Ecossaise et américaine
Métier : PDG de l'entreprise familiale Macwhite
État Civil : En couple
Orientation sexuelle : Hétérosexuel
Avatar : Mads Mikkelsen
Signe distinctif : Je garde en souvenir mon oeil gauche qui est maintenant un œil de verre et une cicatrice partant du dessus du sourcil jusqu'au bas de ce même œil.
  • Sévère
  • Colérique
  • Joueur
  • Carré
  • Sauvage
  • Sûr de soi
  • Pro
  • Terre à terre
  • Logique
  • Doux
Anecdotes
Je parle anglais, le gaélique écossais, j'ai des notions de français, de japonais et de mandarin pour les affaires.
Je me déplace rarement seul, ayant toujours mon chauffeur à disposition avec ma chère limousine.
J'ai été champion du monde de boxe avant de tout abandonner pour passer aux choses "sérieuses".
Je n'ai jamais aimé qui que ce soit, même pas ma propre personne.
J'ai trois kilts différents dans ma garde-robe.
Dis nous en plus...
Aime • J'aime la musique celtique et le don son de la cornemuse. Les pâtes bolognaise autant que l'italienne qui m'accompagne. Dire que j'aime le whisky ne serait que me faire répéter. J'aime les voyages, j'aime me plonger dans mon travail. J'aime des choses complètement banales dans ma vie, ce qui pourrait faire de moi un homme simple.
Aime pas • Les animaux et mon fils, relatant les deux. Les opéras bien que j'y participe pour faire plaisir aux personnes avec qui je passe des contrats. Je n'aime pas le mensonge bien que je peux être le premier à m'en servir. Je n'aime pas qu'on me prenne pour un con mais qui aime ça de toute façon? Je n'aime pas ne pas avoir le contrôle. Je hais les photos et je déteste aussi qu'on m'appelle "le borgne".
Ses envies • J'ai envie de réussir plus professionnellement parlant, de fonder une vraie famille et avoir un mariage qui ne sera pas un échec. Ce n'est que peu en effet mais ce sont des choses qui prennent du temps et du temps, je n'en ai plus énormément.
Ses peurs • J'ai peur du ridicule il est vrai même si je me laisse faire par Maxine et ses choses étranges. J'ai peur de faire faillite et de me retrouver plus bas que terre. J'ai peur de vieillir et qu'un jour je trépasse en sachant que je n'ai pas tout accompli dans ma vie. J'ai peur de ces choses-là sans que je ne puisse rien y faire.
Ses espoirs • Que la vie de mon fils prenne rapidement fin. Que ma propre vie finisse aussi rapidement. J'ai espoir que la société saura aussi connu qu'un Jack Daniels, ces escrocs. Et j'ai espoir d'avoir un jour la main de ma blonde.
Derrière le personnage...
Pseudo : Sergie
Âge : 22 ans
Pays : Pays Basque
Comment as-tu connu le forum :  :scratch:  :scratch:  :scratch:
Comment trouves-tu le forum : Moyen
Fréquence de connexion : Souvent
Ceci est le deuxième compte rapatrié d'Elijah.
Histoire
"Non." Connor

5 Septembre 1969 : Glasgow, ma naissance. Un événement qui intéresse peu mais qui est bon de savoir. Un nouveau-né dans une famille noble dirons-nous, un destin déjà tracé dans la finance sans même que je ne sache prononcer un seul mot.

1976/1977 : Lorsqu'on dit qu'un film peut changer la carrière d'un homme, ce ne sont pas des conneries. Rocky. Un long métrage qui en a inspiré plus d'un et qui du haut de mes 7 ou 8 ans m'a donné l'envie d'être un Sylvester Stallone à en devenir.

1986/1987 : Un apprentissage qui porte ses fruits. Les séances de boxe m'ont permis de ressortir cette énergie presque dissimulée. Mes adversaires ne voulaient point s'affronter à moi bien qu'ils le devaient pour déterminer qui sera le futur vainqueur. J'étais un sportif de haut niveau mais vu mon jeune âge, pas assez puissant pour être un champion mondialement reconnu. Je me contentais seulement d'un record national.

23 Février 1989 : Qui aurait cru que 20 ans plus tard, mes progéniteurs auraient un autre chérubin? Bambie. C'est le nom qu'il lui ont donné. La nouvelle ne m'a pas affecté bien que je sais d'avance qu'elle sera leur préférée. Au moins, ils m'oublieront le temps d'un instant.

1991/1992 : La tradition, reste la tradition. Même lorsqu'on a à peine 23 ans. Lorsqu'une femme admirative est un pansement pour le cœur et qu'elle attend un petit ange, on se doit de l'épouser. Je ne l'ai jamais réellement aimé je dois l'avouer mais elle avait toute mon attention. Le temps passé avec elle, un amour d'habitude plus qu'une passion. J'en venais réellement à la demander en mariage pour ne pas que mon fils soit renié et vu comme un bâtard. Lowell. C'est elle qui a voulu le nommer.

19 Février 1992 : La mort d'un parent peut être l'une des épreuves les plus redoutables, ce genre d'épreuves qui endurcissent un homme. A cette date, ce fut mon père. Une claque en pleine face. La nouvelle était tombée sans qu'on ne s'y attende.

14 Mars 1992 : Quand deux êtres s'aiment du plus profond de leur être, on a tendance à dire qu'ils sont connectés. Les vieilles personnes qui passent toute leur vie ensemble, si l'en s'en va, l'autre s'en suit aussi rapidement. Deux morts en un rien de temps. La mort de ma mère a été le déclic sur la suite de ma vie. Bambie était maintenant orpheline. Je la prends son mon aile, comme l'aurait fait un père présent.

12 Mai 1992 :Neuf mois plus tard, cet enfant si attendu. Ce mélange d'amour et de tendresse entre deux êtres qui étaient presque fait l'un pour l'autre. Lowell. Qui aurait cru qu'il deviendrait la personne que je connais maintenant?

1992/1993 : Un âge tout à fait normal pour un homme qui se lance dans une carrière mondiale. Les championnats étaient lancés. Ma haine m'a poussé à approfondir mes techniques au point de ne passer la plupart de mon temps à m'exercer. J'ai alors presque un quart de siècle que me voilà champion en date, mondialement cette fois bien que mon nom ne sera jamais aussi reconnu qu'un Mohammed Ali.  

1994/1995 : C'est bien beau d'avoir une passion mais bien qu'on puisse en faire une carrière professionnel, mes plans d'avenirs étaient tout autre. Mon père m'avait enseigné ce qu'il y avait à savoir de l'économie, des stratégies qu'il fallait suivre. C'est à ce moment-là que je sortais de l'université de ma ville natale avec un Master à la main, prêt à reprendre du service dans l'entreprise familiale.

1996/1997 : Un dernier tournoi. Une finale réussi. L'adversaire ne sachant être bon joueur, attrapant dans l'une des serviettes un couteau, il m'attaqua au visage, me faisant ainsi perdre la vue de l’œil gauche et me marqua à vie d'une cicatrice digne d'un des vilains des films d'animation de Walt Disney.

1997/1998 : Je n'étais pas encore prêt bien que j'approchais peu à peu de la trentaine. Je ne voulais pas commencer à travailler réellement mais mes devoirs et obligations me poussaient à tourner cette page de ma vie. Deux enfant dans les pattes, à élever seul alors que je n'ai aucune ressource personnelle si ce n'est l'héritage. Je repris l'affaire familiale, me perfectionnant avant de quitter le navire.

2000/2001 : Partir en conquérant vers l'Amérique. Telle fut ma devise en quittant ma ville. L'affaire marchait bien, ayant réussi à la faire fonctionner ici-même, à Austin bien que ce n'était que le début d'un grand succès. L'argent ne manquait pas, l'enfant n'avait besoin de rien vu qu'il avait tout. Je continuais dans cette lignée étant à la fois patron et surtout trader au sein de l'entreprise. Je préférais me noyer de travail pour oublier l'existence du garçon qui restait paisiblement à la maison.

2006/2007 : Même si on ne supporte pas la vue d'une personne, lorsqu'elle vient de son sang, nous sommes obligés de nous en occuper un minimum. Une séance chez le médecin. Un spécialiste. Un diagnostique néfaste qui gâcherait sa vie autant qu'il détruirait la mienne. Une schizophrénie. C'est ce qu'il disait. Sur le moment, cela ne m'étonnait pas vu le comportement de ce dernier mais si j'en crois certains reportages, il ne faut jamais les laisser s'éloigner. Je compris donc que je devrais garder mon fils jusqu'à ce que la faucheuse me ramène avec elle.

2008/2009 : Bambie quitte le cocon familiale, me laissant ainsi avec Lowell. Deux hommes qui n'ont absolument rien en commun si ce n'est qu'un simple nom de famille. Peut-être qu'elle n'aurait pas dû, peut-être qu'elle a bien fait. Au moins, il n'y aura pas d'autres témoins à la maison.

2009/2010 : Mettre la faute sur les autres pour oublier que nous sommes le monstre. Une femme épuisée, une dispute, une mort sous les coups. Accuser son fils, malade, et le voir partir en psychiatrie après qu'il ait eu affaire à la justice. Mais le nom ne devait pas être sali. Après un an de recherches pour un avocat qui en vaille le coup, l'adolescent est sorti, l'affaire fut close et surtout dissimulée. C'est ce qui était bon et juste pour ne pas salir ma réputation.

2013/2014 : Une femme. Teodora. La seconde de ma vie. Je cherchais quelqu'un pour combler certains manques et pour occuper la bête. Un mariage fut donc consenti, un mariage qui se veut d'amour, de bienveillance avec une femme aimante et gentille, comme le fut la mère du bambin. L'enfant ne serait plus jamais seul maintenant qu'elle était entrée dans notre vie.

2018/2019 : Des affaires qui avancent à merveille. Des querelles de famille qui se veulent de plus en plus violentes. Un fils ayant plus de la vingtaine vivant encore sous mon toit, profitant de ma fortune personnelle. C'est ainsi que je décidais de vivre ma vie. Une vie de chien. Une vie où j'attends rapidement de voir la fin. Qui ou quoi me tuera en premier? C'est ce que je me demande.

2019 : Appel au divorce après la rencontre de Maxine. On s'enfuit rapidement d'Austin dans un endroit où nous aurons peut-être enfin la paix. J'achète rapidement un local pour continuer les affaires, nommant par la même occasion ma sœur en tant que co-PDG. Mon fils est resté au Texas et je suis bien décidé à le laisser faire sa vie pour qu'il apprenne par lui-même, malgré sa maladie.
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